We want change, yeah!

Je ne suis pas de ceux qui défendent ardemment des chapelles politiques et je suis allergique à tout prosélytisme politique. Mais, comme à chaque fois depuis que je suis tout petit (les élections présidentielles de 1995 chez Claire où l'on a refait la campagne le jour du deuxième tour...), je suis passionné par les élections. Oui les élections municipales a StE me font tripper malgré la platitude des candidats (la gauche va-t-elle remporter cette ville qu'elle n'a eue que de 1977 à 1983 depuis l'après-guerre???? Vincent, on croit en toi^^). Mais, actuellement, je trippe beaucoup sur les primaires américaines. L'obscurantiste intégriste Huckabee va-t-il faire trembler le franc-tireur McCain? Le multimilliardaire mormon Romney est-il véritablement fini??? Mais surtout Obama... Ce mec a une class incroyable. Elegant, intelligent, excellent orateur. Ok son projet de société ne diffère pas vraiment de celui de Clinton. Mais quel tribun, putain!!!! La politique c'est avant tout ça, faire agiter les foules. Et pour ça il cartonne. Bien sûr je pourrais développer sur la rupture qu'il incarne, sur la fin d'une ère politique débutée avec Reagan... Pas envie, et surtout, ça vous ferait chier. Après cet enthousiasme électoral, ce mec est loin de représenter mon idéal social. Je resterai toujours un marxo-chavezo-titiste archaïque.
Pour revenir sur Obama, une video bien foutue avec plein de stars (Scarlett, i want you).

Barack Obama - Yes we can
envoyé par BriKO

Comments

[poulpy]

ce con de clip pue quand meme bien l'américanisme primaire. impossible que ça arrive ailleurs, ce genre de clip.

[aure]

n'importe quoi, il ne ressemble pas du tout à Faudel !
"je ne suis pas de ceux qui défendent ardemment des chapelles politiques", ah, ah, ah, c'est bien connu que tu es un grand modéré dans ce domaine là...On ne t'a jamais vu prêt à exploser ta veine du front en plein débat politique...

[Reno]

Oh non pas Faudel, un gros tas devenu fan de Sarko.

[poulpy]

j'avais pas fait gaffe
mais obama, il ressemble a Faudel, merde alors!